– Albeniz : Triana, au Shiodome Hall à Tokyo le 1er novembre 2018 :
– Fauré : Nocturne n°13 op. 119 en si mineur, le 26 janvier 2023 au CRR de Toulouse (piano Bösendorfer) :
– Prokofiev : Suggestion diabolique, en mars 2004 à Versailles :
– Prokofiev : sonate n°3 op. 28, en février 2004 à Versailles :
– Enesco : Pièce sur le nom de FAURE, le 18 septembre 2016 dans la salle byzantine de l’Hôtel de Béhague, à l’Institut Culturel de Roumanie :
– Bartok : finale de la sonate, le 14 juin 2003 à Versailles (auditorium du CRR) :
– Fauré : nocturne n°7 en ut# mineur, lors d’un récital en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens le 5 novembre 2006 :
https://www.youtube.com/watch?v=h7x8-058rKg
– Rita Strohl : Musiques sur l’eau, triptyque pour piano seul : 1 – Jeux de Naïades (1904, inédit), lors d’un concert privé à Colombes sur grand Erard de 1880, le 9 juillet 2014 :
https://www.youtube.com/watch?v=dwst5b0wTms
– Debussy : Les Sons et les parfums tournent dans l’air du soir, le 30 mai 2015 au festival d’Alba (Italie) :
– Debussy : Poissons d’or, enregistré au CNSMDP le 13 novembre 2011 :
– Debussy : Et la lune descend sur le temple qui fut, lors d’un récital à l’église Saint-Merri le 6 août 2011 :
– Debussy : étude « pour les quartes », à Alfortville le 28 mai 2006 :
– Scriabine : Sonate n°7 op. 64, dite « Messe blanche », lors d’un concert à la Tourillière, à Rueil la Gedelière (28270), dans la maison de Maurice de Vlaminck, le 22 avril 2006 :
– Scriabine : étude op. 42 n°5, le 5 février 2003 à Versailles :
– Ravel : Ondine, extrait de Gaspard de la Nuit, à la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens le 28 octobre 2007 :
– Ravel : Gibet, extrait de Gaspard de la Nuit, à la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens le 28 octobre 2007 :
Rachmaninov : étude-tableau op. 39 n°3, au Moulin d’Andé, le 5 décembre 2004 :
– Ravel : premier mouvement de la sonatine, à Meudon le 8 juillet 2000 (avec 3 coupures d’enregistrements) :
– Raoul Pugno : Esquisse (à l’église Saint-Merri, le 6 août 2011) :
– Serge Gut : Le pharmacien de Tombouctou, lors d’un concert-hommage à Serge Gut à l’amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne, le 9 décembre 2014 :